nouvelle saison 
2017-2018
Théâtre / récit autobiographique
█ Vendredi 6 et Samedi 7 Octobre à 20h30
Dimanche 8 Octobre à 18h
Ma vie en prison
Monsieur Gigi
de et avec : Djibril Siby
avec la collaboration de : Jérôme Esselin et Franck Bizet
« J’ai écrit une histoire, de l’entrée jusqu’à la sortie, le quotidien, le parloir, la violence, la cellule pour trois où on s’entassait à dix... avec des trucs rigolos. Sans plainte. Sans pathos. »
« Ma vie en prison a séduit Avignon » (L’Est Républicain)
« Un texte juste, brut et tendre à la fois, une mise en scène intelligente et sobre et un acteur qui se donne, Ma vie en prison va marquer le off 2017. Bravo encore. » (Parole de spectateur)
Théâtre
█ Samedi 25 Novembre à 20h30
Dimanche 26 Novembre à 18h
Par les morceaux de cette ville
Cie La Voyageuse
texte et coordination du spectacle : Yannick Hoffert
avec : Jean-Jacques Daillot, François Glikson, Mélodie Lambert
musique : Sylvain Gherardi
Première pelletée, premiers problèmes.
On voulait construire au-dessus. Il y avait quelque chose au-dessous.
Dessous, un grouillement de papyrus.
Dessus, des hommes et des femmes arrêtés par le passé.
Ils ne savent pas quoi faire de ce passé. Ni s’il faut en faire quelque chose. Ni ce qu’il va faire d’eux.
Creuser, c’est risqué
Théâtre et musique
█ Samedi 20 Janvier à 20h30
Dimanche 21 Janvier à 18h
Le violon de Rothschild
Cie Le Moujik
texte : Anton Tchekhov
jeu et mise en scène : Yann Berriet
jeu et mise en musique : Charlène Ploner
Iakov Ivanov fabrique des cercueils dans une ville où l’on ne meurt pas assez. Iakov Ivanov joue dans un orchestre où ça sent l’ail. Iakov Ivanov, les jours fériés, compte ses pertes. En un mot, Iakov Ivanov a raté sa vie. Et pourtant sa femme, à l’heure de mourir, se met à sourire…
Le sourire du bouffon se veut amer, les larmes de la contrebasse se rêvent klezmer.
Et chacun vient poser un regard bienveillant sur Iakov...
Humour et philosophie
█ Samedi 10 Février à 20h30
Dimanche 11 Février à 18h
Les conférences extragvagantes de Pierre Cleitman :
Le plombier du Titanic
Le 14 avril 1912, peu après 22 heures, alors que le Titanic effectue sa première (et dernière) traversée de Southampton à New-York, le passager d'une cabine de première classe s'aperçoit que la tuyauterie d'arrivée d'eau de la baignoire est fissurée sur toute sa longueur. On fait aussitôt intervenir le plombier du bord. Et c'est au beau milieu de son travail que le navire, à 23h40, heurte l'iceberg pour finir par sombrer deux heures plus tard. L'amour du travail bien fait survivra-t-il à l'angoisse et même à la panique liée à l'imminence du naufrage ?
Entre one man show humoristique et conférence traditionnelle, Les Conférences extravagantes sont un mélange irrésistible de réflexions ultra-sérieuses et de divagations ultra-délirantes. Celle-ci est la toute nouvelle...
Théâtre
█ Samedi 24 Mars à 20h30
Dimanche 25 Mars à 18h
Et hop !
Coproduction Les Crieurs de Nuit et Théâtre de Cristal
conception et jeu : Dominique Farci et Christian Magnani
Spectacle composé de courtes scènes, joué par deux comédiens qui font voyager le public dans un univers cocasse et absurde, le tout ponctué par des chansons.
Les deux acolytes jonglent avec les mots, empêtrés dans des histoires attendrissantes, absurdes et cruelles à la fois.
Un spectacle d’un humour corrosif, qui met l’accent sur les travers de la nature humaine.
Théâtre / comédie musicale
█ Samedi 7 Avril à 20h30
Dimanche 8 Avril à 18h
La mégère à peu près apprivoisée
Cie Incognito
d'à peu près William Shakespeare mais surtout d'Alexis Michalik
Mise en scène : Clémence Iddir
piano : Elise degrange
guitare : Dominique collet
avec : Laurent Albrecht, Romain Albrecht, Dominique Collet, Patrick Cuny, Grégory Thomassin, et Agathe Aranda ou Karine Lervat, Clémence Iddir ou Marlène Faure
Le pasteur Battista a deux filles : Bianca, la douceur incarnée et Katarina, la mégère. Il accepte de lâcher la main de Bianca, mais d’abord, il faut trouver un mari à l’autre cas social...
Adaptation déjanto-kitsch en comédie musicale façon Broadway de La Mégère apprivoisée, ce délirant spectacle dynamite Shakespeare avec délectation !
Théâtre-Concert biographique
█ Vendredi 20 et Samedi 21 Avril à 20h30
Marguerite fleur de pavé
Cie Max Ollier
Création 2018
Fréhel... l'inoubiable inoubliée...
On l'a appelée aussi
« Mam'zelle Pervenche »… « L'hirondelle des faubourg »...
« La Reine des Apaches! »... « Madame sans gêne de la chanson »...
Pour certains, c'était plutôt
« Miss Coco »?... ou « Fleur de ripaille »...
Si elle était simplement Marguerite Boulc'h ?
La femme derrière la vedette des caf' conc'...
Son histoire derrière sa carrière...
Sa vie derrière ses chansons...
Marguerite derrière Fréhel…
Maxime Ottinger : Voix, percussions, direction artistique
Thomas Valentin : Piano, arrangements
www.max-ollier.fr Contact : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Présentation de "Héritage", une création 2018 de l'atelier Adultes "Réalisation".
Héritage
Cie ça respire encore
Direction d'acteurs Daniel Pierson
Vous attendez, inquiets ( si si ! ), les dates de représentations du travail fourni avec acharnement et passion par l’atelier adulte « Réalisation », celui-là qui vous a emporté et… emballé toutes ces dernières années.« Empêchés » pendant les répétitions d’hiver et donc pas tout à fait prêts, nous avons décidé de reporter les représentations aux :
samedi 20 octobre à 20h30 et dimanche 21 octobre à 18h.
Cependant !
Nous vous proposons une sorte d’avant-première, une maquette généreuse, un temps fortissimo du travail, qui vous donnera encore plus envie de nous retrouver en octobre… Bien sûr qu’il y aura un pot à la fin de la présentation.
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Depuis Sophocle à aujourd’hui, BM Koltes et JL Lagarce, le théâtre dissèque les liens familiaux, parents- enfants surtout. Liens de sang, liens de « sans »aussi. Nous avons choisi des textes d’auteurs classiques et contemporains pour dire la douleur parfois de grandir, d’être séparé, de se sentir abandonné d’un père, d’une mère, d’être le « rejeton » d’un père ayant lui-même eu des rapports douloureux avec le sien. Pour dire aussi les rêves, les frustrations, les désirs de l’adolescence, ce rideau de brume, trop souvent entravés par une éducation répressive et l’aveuglement de la famille. Ces textes nous présentent des figures parentales, pères absents, pères fantômes, mère-enfants qui n’aident certainement pas à grandir. Longue chaîne d’hérédité, de culpabilité… Des mots, des langues qui nous renvoient à notre mémoire, à nos doutes… Et si la clairvoyance venait de ce colloque de bébés plein d’humour ! DP |
Extraits : Electre (Sophocle) trad. Antoine Vitez |